le Saint-Suaire
Après les clichés de 1898 - et la surprise des nombreux détails invisibles à l'oeil nu révélés par les négatifs - vint l'analyse du linge avec les rayons X.
Là c'est tout aussi étonnant. Les rayons X révèlent que l'image n'est "ni peinte, ni dessinée", mais le lin a subi une légère irradiation de 45 microns de profondeur.
Plus tard, autre surprise, avec l'invention des ordinateurs on constate que l'image n'est pas plate (2 dimensions) mais tridimensionelle (3 dimensions). Les ingénieurs de la NASA reconstitueront sur leurs ordinateurs un portrait de "l'homme du suaire", en relief.
Mais en 1988 des tests au carbone 14 font remonter le linge au XIIIème siècle et jettent le trouble parmi les chercheurs. En effet, les hommes du XIIIème siècle étaient dans l'incapacité de produire le phénomène d'irradiation ayant abouti à l'image du suaire (rappelons que l'image n'est ni peinte, ni dessinée). Le mystère restait donc entier avec son cortège de questions sans réponses.
L'histoire rebondit avec un docteur ès-science, le Père Rinaudo. Il fait d'autres découvertes qui infirment les tests de 1988. Parti de l'hypothèse que les tâches du linceul sont provoquées par un bombardement de protons il effectue plusieurs expériences au Centre d'Etudes Nucléaires de Grenoble en 1992. Il veut savoir si des tâches de nuance comparables à celles du suaire peuvent se former sur un morceau de lin. Le résultat confirme la théorie: - mêmes tâches sur le morceau de lin et irradiation de 45 microns très exactement !
La question qui vient à l'esprit maintenant est la suivante: le corps humain a-t'il les matériaux pour produire ce phénomène ?
On sait par la science que notre corps est composé à 60% d'eau, liquide pouvant libérer des noyaux de deutérium, composant de l'hydrogène (rappel de nos souvenirs d'école - la molécule d'eau est formée de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène). Or le noyau de deutérium, sous l'effet d'une certaine énergie, possède la particularité de se casser en libérant un proton et un neutron.
Avant de poser la question de la provenance de l'énergie capable de créer l'image du suaire il faut aussi se demander ce qu'il advient des neutrons libérés par le deutérium. Eh bien ils ont la propriété physique d'enrichir le lin en carbone 14 ! Ce qui par conséquent faussait les résultats des tests de 1988. La mesure de la datation dépend en effet de la vitesse avec laquelle le carbone 14 disparaît. S'il y en a davantage au départ la mesure d'arrivée est faussée, l'objet est jugé plus jeune qu'il n'est en réalité.
La vérification fut effectuée par le centre de Saclay puis l'université de Toronto au Canada. Un morceau de lin provenant d'une momie égyptienne âgée de 3400 ans avant Jésus-Christ a été bombardée de neutrons à Saclay, puis daté à Toronto, avec pour effet de faire avancer son âge de 46000 ans !
Il ne restait plus qu'à calculer, en partant de la thèse de l'authenticité du suaire, quelle dose de neutrons pouvait avoir provoqué une erreur de 13 siècles dans les tests de 1988. Or la dose de neutrons correspond exactement à celle protons capables d'oxyder le linge.
Formulé autrement, le même nombre de noyaux de deutérium émanant de l'hydrogène d'un corps humain peut simultanément expliquer la formation de l'image et une erreur de datation de 13 siècles...
Le mystère demeure quand même entier, car si le linge provient bien du corps d'un supplicié crucifié en Israël (sur 58 pollens identifiés sur le linceul 44 viennent de Jérusalem et ses environs), sous le règne de Tibère...
1) Quelle énergie a bien pu casser les noyaux de deutérium ?
2) Et les casser selon un ordre mathématique capable de créer une image en 3 dimensions ?
Il n'y avait pas "d'accélérateur de particules à l'époque du Christ"... Ce mécanisme de transfert d'image et de séparation du corps d'avec le linge (sans aucune trace d'arrachement s'il vous plaît !) pose plus de questions à la science qu'il n'amène de réponse. Certains appellent ce phénomène le "flash de la résurrection" ! Mais reconnaissons qu'il faut - pour l'admettre - quitter le domaine des connaissances scientiques pour rejoindre celui de la croyance et de la Foi.
Là c'est tout aussi étonnant. Les rayons X révèlent que l'image n'est "ni peinte, ni dessinée", mais le lin a subi une légère irradiation de 45 microns de profondeur.
Plus tard, autre surprise, avec l'invention des ordinateurs on constate que l'image n'est pas plate (2 dimensions) mais tridimensionelle (3 dimensions). Les ingénieurs de la NASA reconstitueront sur leurs ordinateurs un portrait de "l'homme du suaire", en relief.
Mais en 1988 des tests au carbone 14 font remonter le linge au XIIIème siècle et jettent le trouble parmi les chercheurs. En effet, les hommes du XIIIème siècle étaient dans l'incapacité de produire le phénomène d'irradiation ayant abouti à l'image du suaire (rappelons que l'image n'est ni peinte, ni dessinée). Le mystère restait donc entier avec son cortège de questions sans réponses.
L'histoire rebondit avec un docteur ès-science, le Père Rinaudo. Il fait d'autres découvertes qui infirment les tests de 1988. Parti de l'hypothèse que les tâches du linceul sont provoquées par un bombardement de protons il effectue plusieurs expériences au Centre d'Etudes Nucléaires de Grenoble en 1992. Il veut savoir si des tâches de nuance comparables à celles du suaire peuvent se former sur un morceau de lin. Le résultat confirme la théorie: - mêmes tâches sur le morceau de lin et irradiation de 45 microns très exactement !
La question qui vient à l'esprit maintenant est la suivante: le corps humain a-t'il les matériaux pour produire ce phénomène ?
On sait par la science que notre corps est composé à 60% d'eau, liquide pouvant libérer des noyaux de deutérium, composant de l'hydrogène (rappel de nos souvenirs d'école - la molécule d'eau est formée de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène). Or le noyau de deutérium, sous l'effet d'une certaine énergie, possède la particularité de se casser en libérant un proton et un neutron.
Avant de poser la question de la provenance de l'énergie capable de créer l'image du suaire il faut aussi se demander ce qu'il advient des neutrons libérés par le deutérium. Eh bien ils ont la propriété physique d'enrichir le lin en carbone 14 ! Ce qui par conséquent faussait les résultats des tests de 1988. La mesure de la datation dépend en effet de la vitesse avec laquelle le carbone 14 disparaît. S'il y en a davantage au départ la mesure d'arrivée est faussée, l'objet est jugé plus jeune qu'il n'est en réalité.
La vérification fut effectuée par le centre de Saclay puis l'université de Toronto au Canada. Un morceau de lin provenant d'une momie égyptienne âgée de 3400 ans avant Jésus-Christ a été bombardée de neutrons à Saclay, puis daté à Toronto, avec pour effet de faire avancer son âge de 46000 ans !
Il ne restait plus qu'à calculer, en partant de la thèse de l'authenticité du suaire, quelle dose de neutrons pouvait avoir provoqué une erreur de 13 siècles dans les tests de 1988. Or la dose de neutrons correspond exactement à celle protons capables d'oxyder le linge.
Formulé autrement, le même nombre de noyaux de deutérium émanant de l'hydrogène d'un corps humain peut simultanément expliquer la formation de l'image et une erreur de datation de 13 siècles...
Le mystère demeure quand même entier, car si le linge provient bien du corps d'un supplicié crucifié en Israël (sur 58 pollens identifiés sur le linceul 44 viennent de Jérusalem et ses environs), sous le règne de Tibère...
1) Quelle énergie a bien pu casser les noyaux de deutérium ?
2) Et les casser selon un ordre mathématique capable de créer une image en 3 dimensions ?
Il n'y avait pas "d'accélérateur de particules à l'époque du Christ"... Ce mécanisme de transfert d'image et de séparation du corps d'avec le linge (sans aucune trace d'arrachement s'il vous plaît !) pose plus de questions à la science qu'il n'amène de réponse. Certains appellent ce phénomène le "flash de la résurrection" ! Mais reconnaissons qu'il faut - pour l'admettre - quitter le domaine des connaissances scientiques pour rejoindre celui de la croyance et de la Foi.